Passer au VTT électrique ?

Nous vivons dans le futur ! Dans tous les domaines, la technologie a amélioré nos vies, que ce soit par des médicaments révolutionnaires, des énergies renouvelables ou de nouvelles idées sportives pour nous garder actifs (et vivre) plus longtemps… l’un de ces changements est le vélo électrique. Vous en avez peut-être déjà vu un dans vos rues. La question est de savoir s’il vaut la peine d’en faire tout un plat, surtout pour nos collègues cyclistes.

Conduire un vélo électrique – ou e-bike – pour la première fois peut donner l’impression de découvrir un super pouvoir. En effet, les vélos électriques à pédalage assisté élargissent vos possibilités sur deux roues : Vous pouvez suivre le rythme de la circulation dans les arrêts et les démarrages, transporter plus facilement des enfants ou des marchandises, arriver moins en sueur à votre destination, ou simplement profiter d’un petit coup de pouce supplémentaire lors de randonnées qui, autrement, vous auraient semblé trop longues ou trop vallonnées.

Les vélos électriques se répartissent initialement dans les mêmes catégories que les vélos conventionnels : VTT et route, vélo de randonnée sportive, plus des niches telles que les vélos urbains, hybrides, cruisers, cargo et pliants.

Le e-bike pourrait être la plus grande adoption de transport vert de la décennie. Le vélo est déjà « vert », direz-vous, mais c’est plus que cela. Pensez-y comme à de petits scooters à essence plutôt qu’à des bicyclettes normales. Les vélos électriques utilisent des batteries rechargeables qui peuvent atteindre une vitesse de 25 à 45 km/h, bien plus rapide que celle de la plupart des gens à vélo, ce qui vous permet d’arriver à destination plus rapidement et en meilleure forme. En un mot, ils offrent un moyen de transport peu coûteux, économe en énergie et sans émissions, qui présente également des avantages sur le plan physique et de la santé.

Batteries, autonomie et moteurs des vélos électriques

Les fabricants accordent beaucoup d’attention au moteur de chaque vélo électrique. Le compromis de conception est la performance par rapport à l’autonomie. Un moteur plus puissant offre plus de vitesse pour suivre le trafic et plus de couple pour gravir les collines et transporter des marchandises. Un moteur plus puissant consomme également la batterie plus rapidement, ce qui réduit l’autonomie.

Lorsque vous comparez des vélos électriques potentiels, vous verrez des spécifications générales sur l’autonomie : 20 à 100 milles en pédalage assisté, par exemple. C’est parce que de nombreuses variables affectent l’autonomie.

Bien sûr, une grosse batterie est utile : Les capacités sont exprimées en wattheures (Wh), c’est-à-dire le nombre d’heures pendant lesquelles une batterie peut supporter une puissance de 1 watt avant de mourir. La puissance du moteur est donc également importante : Un moteur de 500 watts associé à une batterie de 500 Wh (une configuration courante de vélo de classe 3) se vide plus rapidement qu’un moteur de 250 watts associé à une batterie de 500 Wh (une configuration courante de vélo de classe 1).

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